
Nous sommes de nouveau là pour la cinquième année pour ranger notre courrier plein de bons voeux et de pères Noël.
Un travail agréable et relaxant qui nous permet aussi de retrouver de l’énergie et de réorganiser nos idées pour ce 2018 qui nous verra encore élaborer des idées et des propositions pour rendre encore plus intéressant notre web-magazine qui ne peut plus s’arrêter de grandir.
Ce que vous êtes sur le point de parcourir est un numéro qui vous propose une sélection de Dino Aloi sur les vœux de Noël des humoristes et une mini galerie dédiée à Luca Bertolotti, auteur de la couverture en habit rouge de Noël.
Et puis des cartes postales à gogo, en effet, cartes de meilleurs voeux. Parce que je dois arrêter de les appeler cartes postales. Les cartes postales, les belles, élaborées, avec le timbre, sont désormais rares.
Une question de coûts, mais j’en ai peur surtout de « commodité moderne ».
Maintenant, les emails et facebook sont les maîtres. Ce qui, à mon avis, rend tout plus stérile et froid. Envois de masse et avec bien peu d’empathie.
Mais c’est probablement moi qui reste un indéfectible fétichiste, bien que Buduàr soit un produit numérique (mais j’avoue un secret: j’imprime et conserve tous les numéros!). Ce numéro je veux le dédier à ceux qui m’ont donné l’émotion de recevoir une enveloppe avec une belle carte de voeux. C’est une émotion qui reste, qui reste fermée dans mon beau de collectionneur, prête à s’élargir chaque fois que je l’ouvre.
2017 a été l’année du retour du vinyle et de la redécouverte des radio-cassettes. Afin de ne pas être pris au dépourvu, j’ai acheté un autre album de collectionneur de cartes postales.
[Alessandro Prevosto]